Sur le tard, je n'aime
que la quiétude.
Loin de mon esprit
la vanité des choses.
Dénué de ressources,
il me reste la joie
De hanter encore
ma forêt ancienne.
La brise des pins
me dénoue la ceinture ;
La lune caresse les sons
de ma cithare.
Quelle est, demandez-vous,
l'ultime vérité ?
Chant de pêcheur,
dans les roseaux, qui s'éloigne...
Wang Wei
Sérénité, soie et volupté...
RépondreSupprimerBelle formule ! :-)
Supprimerdétente... un premier plan comme un montage 'zen'...
RépondreSupprimeren arrière plan la montagne tout aussi zen !!
et nous qui voguons au mitan... sérén'été
Toi aussi, tu as le sens de la formule, Solilouve !
Supprimer(et en plus, je ne te l'ai pas encore dit,
mais j'aime ton pseudo...j'aurais pu le choisir pour moi !)
Alors, oui, plus le monde devient "fou"
et plus je demande à la nature de m'apporter un peu de "zénitude"...:-)
Ce n'est pas donné à tout le monde de vivre des instants d'une telle intensité émotionnelle. Est ce toi qui a fait ce superbe cliché ? Merci pour ton passage chez moi. Bonne soirée
RépondreSupprimerC'est le principe de ce blog, Chinou...
SupprimerLes clichés sont de moi... :-)
Par rapport aux aquarelles, d'ailleurs, c'est plus rapide
(peut-être pas plus facile, mais plus rapide !)
Une image pleine de douceur !
RépondreSupprimerSuperbe, accompagnée de ces beaux mots :-)