mercredi 12 janvier 2022

272. Une rêverie, un absolu...


 

 
 
 
Le blanc est une rêverie
un absolu que l'on contemple comme un désert
et qui s'attendrit entre les doigts
comme la chair des fruits.
 
Nous voudrions accompagner la neige
dans son domaine
qui est la pulpe du sommeil
dans ce temps hors du temps où elle se repose
.

 
Philippe Delaveau
 
.
 
 
 
 

 

15 commentaires:

  1. Quel paysage ! Qui, comme le titre l'indique, invite à la rêverie...

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  2. Magnifique paysage enneigé accompagné d'un beau texte.
    Bonne journée la Licorne

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    1. Nous avons eu de très belles journées...
      neige, soleil...et froid...
      (même si la photo ne date pas de cette année,
      le paysage actuel est exactement le même)

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  3. Une très belle rêverie alors !!! :-)

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    1. J'ai beau en avoir l'habitude,
      revoir ce genre de choses chaque hiver (ou presque),
      ça me fait toujours rêver...:-)

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  4. J'aime beaucoup la photo. Une fois encore une belle composition réussie. En particulier le premier plan qui semble entourer l'arbre de son affection. Et la clôture voyageuse qui se dirige vers lui…

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  5. Troïka qui s’avance,
    aux grelots échappés
    de la grande poudrée,
    du grand sucre glacé
    qui nappe la contrée.
    Tintement de l’esprit
    sous l’œil de l’infini
    et battement du cœur
    au sein du grand silence.

    Amezeg

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  6. Dans la forêt blanche d'Ukraine
    Avec petit Boris et Natacha ??? :-)

    https://youtu.be/7kmGTV0fM2Y

    Magnifique, ton poème, Amezeg !
    j'aime beaucoup...

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  7. Tu me fais découvrir"Boris et Natacha" qui semble être un vrai petit tube pour la jeunesse.
    Une jeune chanteuse de ma parenté me le chantera peut-être un jour prochain et, grâce à toi, je n’aurai pas l’air trop dépassé en l’écoutant… ;-)

    Merci la Licorne !

    Amezeg 

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    1. C'est un "tube", effectivement, mais un tube d'il y a 50 ans... :-)
      (je l'ai beaucoup chanté quand j'étais enfant)

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    2. Ma jeune mémoire aurait-elle déjà quelques (grands) trous ? :-)
      Quoi qu’il en soit, la version que tu as choisie fait entendre le piano à bretelles pour lequel j’ai une certaine tendresse, qui ne date pas d’hier.

      Amezeg

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  8. Ah, tu y es presque au petit arbre dans le lointain :-)
    Coup de coeur tout particulier pour le chemin clôturé qui semble s'amuser à traverser le paysage enneigé.

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    1. Il est joli, hein ?
      je m'y promène très très souvent...:-)

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