Aimable évocation picturale d’un contraste essentiel.
Que serait pour nous la lumière sans l’ombre qui lui donne vie et présence en nous comme au dehors ?
Observant ce matin, depuis l’abri ombreux d’une ramée de chêne dans sa nouvelle feuillée d’un vert encore bien tendre, j’ai noté : Sur la pierre, sous les cieux, Dans la brillance des eaux , Dans le vol des hérons blancs, La rengaine du pinson, La vasière et tout l’estran immobiles de soleil : Tu es.
Aimable évocation picturale d’un contraste essentiel.
RépondreSupprimerQue serait pour nous la lumière sans l’ombre qui lui donne vie et présence en nous comme au dehors ?
Observant ce matin, depuis l’abri ombreux d’une ramée de chêne dans sa nouvelle feuillée d’un vert encore bien tendre, j’ai noté :
Sur la pierre, sous les cieux,
Dans la brillance des eaux ,
Dans le vol des hérons blancs,
La rengaine du pinson,
La vasière et tout l’estran immobiles de soleil :
Tu es.
Amezeg
L'observation de ce qui "est"
RépondreSupprimerest une joie sans fin...
Merci pour ce texte splendide, Amezeg !